Le métier de plâtrier-plaquiste est l'un de ceux qui a le plus évolué ces vingt dernières années dans le monde du bâtiment. Les changements sont notamment dûs au développement des produits secs, notamment les carreaux et plaques de plâtre. Ceci rend la nécessité de précision plus importante, d'autant que le plâtrier répond de plus en plus à une demande de restauration et exécution d'éléments décoratifs.
Pour certaines tâches, la dextérité d’un plâtrier est particulièrement recherchée. Gypse, staff et stuc permettent en effet de participer aux plâtriers de participer à la restauration ou à l’exécution d’éléments décoratifs.
Comme le montre cette photo du site SARL Montanari, le plâtrier utilise des logiciels spécifiques pour les travaux décoratifs et de rénovation.
Le plâtrier évolue dans dans le résidentiel que dans le tertiaire et les bâtiments industriels. Le plâtrier intervient une fois le gros œuvre achevé, en travaillant sur les cloisons, les escaliers, les plafonds, ainsi que l'aménagement et la restauration des pièces.
Aux travaux de plâtre traditionnels s'ajoutent désormais l'assemblage de plaques par vissage ou collage sur ossature bois ou métal, ainsi que l'usage de cloisons alvéolaires, métal ou bois (cf. exemples sur le site Plâtrier Metz).
Le métier de plâtrier-plaquiste est de plus en plus lié à la rénovation énergétique des logements et bâtiments, avec une intégration croissante aux parois d'isolation thermique et acoustique. Il évolue également vers les besoins de décoration : réalisation et restauration de corniches, moulures, cheminées, rosaces, etc. Les enduits décoratifs utlisés sont des stucs qui imitent le marbre ou la pierre.Les compétences doivent être attestées par des qualifications, par exemple la qualification QUALIBAT, qui permet notamment de bénéficier de la garantie d'assurance décennale.
Les métiers de la rénovation énergétique
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